LNH: J.T. Miller veut mettre derrière le sombre passé des Canucks – TVA Sports
J.T. Miller estime que la tempête se trouve derrière les Canucks de Vancouver qui connaîtront de meilleurs jours dès cette saison.
Le joueur de centre de 30 ans, qui disputera la première année d’un contrat de sept ans lui rapportant 56 millions $, croit que son équipe se dirige dans la bonne direction.
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En entrevue à la chaîne Sportsnet, il a qualifié de «shit show» (en français, «spectacle de merde»), la première moitié de la dernière campagne, celle qui a mené au départ de l’entraîneur-chef Bruce Boudreau. Son successeur, Rick Tocchet, a eu un impact positif par la suite, selon Miller.
«Tout a changé lorsque Rick et son équipe sont arrivés ici, a-t-il souligné. Cela a fait du bien lors des 30 derniers matchs de l’année passée. L’environnement, qui était toxique, a changé. Le tumulte s’est dissipé et c’était à nouveau plaisant de revenir à l’aréna.»
«Tout le monde est plus mature, a-t-il poursuivi. Nous avons vécu l’enfer au cours des deux dernières années. On peut finalement respirer et jouer au hockey. C’est difficile de prédire comment se déroulera la prochaine campagne, mais j’ai l’impression que nous sommes une meilleure équipe. Les choses changent pour le mieux. Vous pouvez le ressentir dans la pièce.»
Les outils sont là
Les Canucks ont manqué les éliminatoires pendant sept saisons consécutives. Malgré tout, Miller est optimiste.
«Si nous nous préparons et faisons ce que nous sommes censés faire, les résultats parleront d’eux-mêmes, a-t-il dit. Nous avons le talent, un bon gardien de but [Thatcher Demko] et de la profondeur. Nous vivons un camp très compétitif cette année. Il y a beaucoup de points positifs.»
Par ailleurs, celui qui a amassé 299 points en 283 rencontres à Vancouver est prêt à sacrifier sa part de points dans le but d’améliorer la défensive de son équipe.
«Si je joue tous les soirs contre la première ligne de l’autre équipe et que j’accomplis mon travail, les points devraient arriver moins souvent, a mentionné Miller. L’an dernier avec [Brock] Boeser et Phil [Di Giuseppe] nous n’avons pas donné grand-chose aux premiers trios de l’adversaire et nous en étions fiers.»