Les qualités de Logan Mailloux sont nombreuses. Fort, mobile, agile et doté d’un tir puissant, l’arrière au gros gabarit est très visible à chacune de ses présences sur la patinoire. Mais l’est-il trop? 

En fait, selon moi, il doit simplement apprendre à utiliser ses atouts de façon adéquate, donc au bon moment. Traverser la glace et se lancer à la poursuite de Jack Hughes en plein désavantage numérique comme il l’a fait lundi, par exemple, n’est pas nécessairement l’idée du siècle. Mais comme le répète régulièrement Martin St-Louis, l’expérience ne s’achète pas et Logan progressera d’ailleurs à son rythme, au fil des semaines. 

Le jeune homme en a d’ailleurs fait rire plusieurs, ce matin, en répondant à un journaliste lui demandant à quel moment les entraîneurs lui avaioent parlé de son jeu sur Hughes. 

«Pendant et après le match, mais honnêtement, je n’ai pas vraiment eu besoin d’une longue discussion pour comprendre qu’un défenseur ne doit pas être le F1 (premier en échec-avant) sur l’avantage numérique!» 

Comme Subban

Lorsque j’entends des gens qualifier Logan Mailloux de «trop audacieux», sur la patinoire, ça me rappelle drôlement l’époque où P.K. Subban évoluait à Montréal. Combien de fois a-t-on entendu les gens critiquer sa témérité et son énergie? 

J’ai demandé à Logan si le parcours de Subban lui servait un peu d’inspiration, considérant leur styles de jeu similaires et les commentaires similaire les concernant. Sa réponse, que je vous raconte en vidéo principale, parle beaucoup et m’a bien fait sourire.

Aussi, dans mon reportage: 

-Gustav Lindstrom nous dévoile sa principale force et raconte ses liens avec deux grands du hockey suédois.

-John Parker-Jones: une belle histoire de résilience… et des pieds immenses! 

Bonne écoute et bon jeudi!