Avec le début de l’été signifiant toujours de longues heures de travail pour les directeurs généraux de la Ligue nationale de hockey (LNH), Kevyn Adams est déjà au boulot afin de convaincre deux de ses pierres d’assise à la ligne bleue de demeurer chez les Sabres de Buffalo à long terme.

Le DG a rencontré les agents de Rasmus Dahlin et d’Owen Power, qui écouleront en 2023-2024 leur dernière année contractuelle, et il a été rassuré par ce qu’il a entendu : les joueurs concernés ont l’intention de rester en ville pendant plusieurs saisons. Des premières conversations se sont déroulées immédiatement après le calendrier régulier en avril, mais le dialogue avec les représentants s’est véritablement enclenché durant le récent Combine, tenu à Buffalo.

À lire aussi: Les Sabres conservent les services de leur joueur le plus fidèle

À lire aussi: Alex Chiasson au cœur d’un grand ménage chez les Red Wings?

À lire aussi: Connor Hellebuyck tenté par les diables?

Conséquemment, Adams devrait améliorer ses probabilités de sceller des ententes à compter du 1er juillet.

«Ils veulent être ici longtemps et le message a été clair, a-t-il affirmé en conférence de presse, mercredi. Maintenant, nous travaillons sur cela. Nous avons été clairs à ce sujet : ils constituent des morceaux importants de notre organisation quant au futur.»

Dahlin sera admissible à l’arbitrage salarial l’an prochain s’il ne s’entend pas avec le club d’ici là. Ayant paraphé une entente de trois ans et de 18 millions $ en septembre 2021, il a totalisé 73 points, dont 15 filets, en 78 affrontements de la saison passée. Pour ce qui est de Power, il a signé son pacte d’entrée en avril 2022. Il a inscrit quatre buts et 31 aides pour 35 points en 79 parties à sa première campagne complète dans la LNH.

En position de force?

Dans l’ouest de l’État de New York, les partisans patientent depuis 2011 et espèrent revoir leurs favoris en séries. Aussi, le DG voudra bien entendu améliorer son personnel de joueurs, mais pas à un prix exorbitant. Les offres devront être pertinentes pour qu’il y ait une suite envisageable.

«Nous ne sommes pas en situation de panique nous obligeant à agir pour ramener cette concession sur la bonne voie. […] Nous n’irons pas à la chasse aux transactions, nous serons en position de force. Si les idées d’échange sont logiques, nous les examinerons», a-t-il précisé.