Parmi les joueurs du Canadien connaissant un très lent départ en 2023-2024, il y a l’attaquant Nick Suzuki qui espère retrouver sa touche devant le filet adverse, tout en reprenant de bonnes habitudes sur le plan défensif. 

Le numéro 14 a été limité à une mention d’aide en trois rencontres jusqu’ici et affiche le pire différentiel (-4) de la formation de l’entraîneur-chef Martin St-Louis. Si le capitaine d’une équipe doit prêcher par l’exemple, voilà une source d’inquiétude difficile à ignorer dans les rangs du Tricolore, vaincu 5 à 2 par le Wild du Minnesota. Jusqu’à maintenant, Suzuki a été peu visible sur le plan offensif; en fait, il l’a été davantage au cachot, où il a passé quatre minutes depuis le début de la saison.

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Le joueur de centre a terminé avec une fiche négative dans chaque match des siens, ce qui inclut la victoire de 3 à 2 aux dépens des Blackhawks de Chicago, samedi. Aussi, depuis ses débuts en 2019-2020, il a toujours fini la campagne sous 0, ce qui comprend une fiche de -13 l’an dernier. En 2021-2022, son bilan de -29 avait bien reflété les ennuis de la Sainte-Flanelle qui s’était contentée de 22 victoires.

Néanmoins, il peut se consoler à l’idée que plusieurs patineurs de la Ligue nationale revendique un dossier encore plus mauvais que le sien : le défenseur des Hurricanes de la Caroline Dmitry Orlov «domine» le circuit à -7. Pendant ce temps, l’arrière du Canadien Johnathan Kovacevic se distingue à +6, un sommet à Montréal.

Par ailleurs, Suzuki demeure fiable à l’intérieur du cercle des mises au jeu, ayant eu le dernier mot à 60,5 % des occasions.

Le Canadien reprendra le collier en accueillant les Capitals de Washington, samedi.

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