L’espoir de premier plan des Coyotes rassure les partisans – TVA Sports

Malgré les ennuis des Coyotes de l’Arizona à l’extérieur de la patinoire, le jeune Logan Cooley conserve son enthousiasme et se dit prêt à effectuer un bout de chemin avec l’organisation.

Le troisième choix au total du repêchage 2022 de la Ligue nationale de hockey (LNH) a certes appris avec déception le rejet par la population de Tempe d’un projet de futur domicile pour la concession boiteuse devant évoluer au petit Mullett Arena, qui peut contenir environ 4600 spectateurs. Toutefois, l’avenir obscur des «Yotes» n’empêche pas le joueur de 19 ans de dormir. Il continuera de faire ses classes à l’Université du Minnesota, où il disputera une deuxième saison. Son plan demeure le même.

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«Mon objectif n’est pas de rester au collège quatre ans et devenir joueur autonome, c’est clair. Il n’y a aucune chance que cela arrive. Je ne veux pas être échangé ou quelque chose du genre, a-t-il affirmé au site gophnx.com. Évidemment, quand vous retournez à l’école, tout le monde commence à spéculer sur un sujet ou un autre. Cependant, je me concentre uniquement à devenir un meilleur hockeyeur dans le but de jouer pour les Coyotes.»

«Pour moi, il y a encore des accomplissements à réaliser à l’université avant de faire un pas dans la LNH. L’histoire de l’aréna a peu influencé ma décision, ce n’était pas une question de vie ou de mort. Je veux améliorer mon jeu et une victoire au championnat national est l’un de mes buts, car l’échec de l’an dernier a fait mal; nous étions tellement proches, a-t-il ajouté. Maintenant, je suis sûr que tous auraient aimé voir le tout accepté par les gens là-bas. On devait construire un si bel aréna, mais bon, ça ne change rien. C’est fini.»

Des exemples

Mis à part le revers de ses Golden Gophers en finale de la NCAA contre Quinnipiac, Cooley a apprécié sa dernière campagne, durant laquelle il a récolté 60 points en 39 rencontres, en plus d’amasser 14 points en sept affrontements du Championnat mondial junior. Aussi, une deuxième année dans les rangs scolaires comporte ses avantages à ses yeux.

«Cale Makar a joué deux ans au collège, tout comme Matt Boldy et Matty Beniers. Je suis certain qu’il y a des gars déjà prêts [pour les professionnels] après seulement une saison, mais quand je mettrai les pieds dans la LNH, je ne voudrai pas juste être préparé : il faudra avoir un impact.»

Pour les Coyotes, il est à souhaiter que les désirs de l’attaquant se traduiront par du concret. La formation du désert a joué en séries une seule fois depuis le printemps 2012.