Le CH avait le nez dans le dossier O’Reilly
Les Canadiens de Montréal ont essayé de s’immiscer dans la transaction qui a envoyé Ryan O’Reilly aux Maple Leafs de Toronto.
Le directeur général Kent Hughes voulait accomplir ce que le Wild a finalement réussi, soit être la troisième équipe qui facilite l’échange pour obtenir un choix au repêchage en guise de compensation. C’est ce qu’a rapporté le journaliste de The Athletic Arpon Basu sur les ondes de TSN, mardi soir.
Il s’agit d’une manœuvre de plus en plus populaire à l’ère du plafond salarial : une troisième équipe accepte de retenir du salaire avant de refiler immédiatement le joueur concerné à la formation qui le convoitait.
Or, le CH n’a pas été en mesure de le faire, car ses joueurs blessés réduisent sa marge de manœuvre vis-à-vis le plafond salarial – n’oubliez pas qu’ils continuent d’occuper de l’espace sur la masse même s’ils doivent être remplacés.
Dans l’état actuel des choses, il semble donc que Hughes ne sera pas en mesure de grapiller des choix en facilitant des échanges à la date limite.